15 Oct, 2018

Votre obsession pour les technologies embarquées dans vos smartphones pourraient bientôt aider à traiter des maladies mentales

C’est dans le MIT review que j’ai décelé ceci –

Analyzing the way you type and scroll can reveal as much as a psychological test.

There are about 45 million people in the US alone with a mental illness, and those illnesses and their courses of treatment can vary tremendously. But there is something most of those people have in common: a smartphone. A startup founded in Palo Alto, California, by a trio of doctors, including the former director of the US National Institute of Mental Health, is trying to prove that our obsession with the technology in our pockets can help treat some of today’s most intractable medical problems: depression, schizophrenia, bipolar disorder, post-traumatic stress disorder, and substance abuse.

Mindstrong Health is using a smartphone app to collect measures of people’s cognition and emotional health as indicated by how they use their phones. Once a patient installs Mindstrong’s app, it monitors things like the way the person types, taps, and scrolls while using other apps. This data is encrypted and analyzed remotely using machine learning, and the results are shared with the patient and the patient’s medical provider. The assessment included classic neuropsychological tests that have been used for decades, like a so-called timed trail-tracing test.

The seemingly mundane minutiae of how you interact with your phone offers surprisingly important clues to your mental health, according to Mindstrong’s research—revealing, for example, a relapse of depression. With details gleaned from the app, Mindstrong says, a patient’s doctor or other care manager gets an alert when something may be amiss and can then check in with the patient by sending a message through the app (patients, too, can use it to message their care provider).

For years now, countless companies have offered everything from app-based therapy to games that help with mood and anxiety to efforts to track smartphone activities or voice and speech for signs of depression. But Mindstrong is different, because it’s considering how users’ physical interactions with the phones—not what they do, but how they do it—can point to signs of mental illness. That may lead to far more accurate ways to track these problems over time. If Mindstrong’s method works, it could be the first that manages to turn the technology in your pocket into the key to helping patients with a wide range of chronic brain disorders—and may even lead to ways to diagnose them before they start.

Digital fingerprints
Before starting Mindstrong, Paul Dagum, its founder and CEO, paid for two Bay Area–based studies to figure out whether there might be a systemic measure of cognitive ability—or disability—hidden in how we use our phones. One hundred and fifty research subjects came into a clinic and underwent a standardized neurocognitive assessment that tested things like episodic memory (how you remember events) and executive function (mental skills that include the ability to control impulses, manage time, and focus on a task)—the kinds of high-order brain functions that are weakened in people with mental illnesses.

15 Oct, 2018

Le vaccin contre le papillomavirus autorisé pour une classe d’âge plus vaste aux états-unis

 Denise Grady and Jan HoffmanOct. 5, 2018 , dans le New york Times


About 14 million women and men become infected with the human papillomavirus each year in the United States, according to the Centers for Disease Control and Prevention.CreditCreditKeith Bedford/The Boston Globe.  The HPV vaccine, which prevents cervical cancer and other malignancies, is now approved for men and women from 27 to 45-years-old, the Food and Drug Administration said on Friday
The vaccine is Gardasil 9, made by Merck, and had been previously approved for minors and people up to age 26. It works against the human papillomavirus, HPV, which can also cause genital warts and cancers of the vulva, anus, penis and parts of the throat. The virus has many strains. It is sexually transmitted, and most adults encounter at least one strain at some point in their lives. The vaccine protects against nine strains, including those most likely to cause cancers and genital warts.

“Today’s approval represents an important opportunity to help prevent HPV-related diseases and cancers in a broader age range,” Dr. Peter Marks, director of the F.D.A.’s Center for Biologics Evaluation and Research, said in a statement.

28 Sep, 2018

L’insolence du succès : Pour calmer le jeu, Netflix ouvre un bureau à Paris

Avec l’ouverture d’un bureau parisien, Netflix montre ses ambitions en France, où le service est présent depuis trois ans.

L’insolence du succès et la suprématie de Netflix lui attire bien des opposants. Pour calmer le jeu, le PDG Reed Hasting a annoncé que Netflix aura un bureau en France d’une vingtaine de personnes à partir de 2019. Avec cette présence, l’entreprise américaine cherche à donner des gages à un marché à l’importance croissante : on ne pourra plus dire que le leader de la vidéo en ligne par abonnement dans le monde – et en France – n’a pas un seul employé dans l’Hexagone. « En tant qu’entreprise, nous essayons de grandir et de devenir de meilleurs citoyens européens et français », a assuré le fondateur de la plate-forme née en Californie. Avec ce signe de bonne volonté, Netflix montre ses ambitions en France, où le service fête son troisième anniversaire, bien que, sur le fond, ses concessions soient limitées.

L’installation du bureau français est symbolique : tout le secteur se rappelle que Netflix, lors de son arrivée fin 2015, avait déjà ouvert une toute petite antenne, constituée de deux ou trois employés chargés du marketing et des relations presse. Mais ce bureau avait rapidement été fermé et tous les salariés français rassemblés au siège européen à Amsterdam : ce retrait, symbolique du refus d’intégrer le système de réglementation audiovisuelle français, n’avait fait que renforcer l’hostilité du milieu audiovisuel et politique hexagonal. La suite dans Le Monde

28 Sep, 2018

Le cas du Levothyrox pose la question du champ d’application du secret des affaires à la santé publique

Les Jours, Médiapart, le Monde,… La presse accumule les articles et les accusations à l’égard de l’agence du médicament. Il ne s’agit plus cette fois d’un problème de communication mais bien d’un fait plus grave qui lui serait repproché.

L’ANSM aurait empêché la transmission d’informations sur la provenance du principe actif du Levothyrox, dont la nouvelle formule est au cœur d’une polémique. Ce seriat alors la première application connue de la loi sur le secret des affaires, définitivement validée par le Conseil constitutionnel en juillet. Jeudi 27 septembre, le site d’information Les Jours a révélé que l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) avait censuré partiellement une copie de l’autorisation de mise sur le marché du Levothyrox, ce médicament controversé fabriqué par le groupe pharmaceutique allemand Merck. La demande de transmission de ce document public avait été effectuée par Me Emmanuel Ludot, avocat de plusieurs malades de la tyroïde, victimes d’effets secondaires importants depuis la mise sur le marché de la nouvelle formule du Levothyrox

Secret des affaires

Si la transmission de ce document par l’ANSM est obligatoire, en vertu du code des relations entre le public et l’administration, celle-ci a utilisé la loi sur le secret des affaires, entrée en vigueur cet été, afin de caviarder certains passages de l’autorisation de mise sur le marché. Et non des moindres : impossible de lire les informations concernant le lieu de production et le nom de l’entreprise qui fabrique le principe actif de la nouvelle formule du Levothyrox.

La suite dans le Monde et à mon avis ce n’est pas la fin….

28 Sep, 2018

En Martinique, la pollution au chlordécone qualifiée de fruit d’une époque désormais révolue, d’un aveuglement collectif (…) sera reconnue en tant que maladie professionelle

Dans le Monde ce jour, Pas question de faire l’impasse. Alors que l’arrivée du cyclone Kirk a bouleversé le programme de sa visite de quatre jours aux Antilles – les rassemblements en public ont été interdits par le préfet –, Emmanuel Macron n’a pas souhaité sacrifier la séquence consacrée au chlordécone, un pesticide toxique utilisé durant plus de vingt ans dans les bananeraies et qui a pollué pour des siècles les sols de la Guadeloupe et de la Martinique. Arrivé tard, la veille, de New York, où il participait à l’Assemblée générale de l’Organisation des Nations unies (ONU), le chef de l’Etat s’est rendu, jeudi 27 septembre, dans une ferme maraîchère de Morne-Rouge, une commune martiniquaise au pied de la montagne Pelée, où il s’est notamment entretenu avec des agriculteurs.

« La pollution au chlordécone est un scandale environnemental, a reconnu Emmanuel Macron après une courte visite sous des averses. C’est le fruit d’une époque désormais révolue, (…) d’un aveuglement collectif. » Accompagné de la ministre de la santé, Agnès Buzyn, le président de la République a annoncé l’ouverture d’une procédure permettant de reconnaître l’exposition au chlordécone comme maladie professionnelle. « L’Etat doit prendre sa part de responsabilité », a-t-il dit.

Concrètement, l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) et l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) devront rendre d’ici à mars 2019 un rapport permettant de dire à partir de quel niveau d’exposition les ouvriers agricoles qui furent employés dans les bananeraies pourront être pris en charge et indemnisés. Ensuite, les partenaires sociaux devront s’accorder sur les modalités et notamment sur le niveau de cette prise en charge. « On ouvre un processus de reconnaissance », a plaidé M. Macron.

Par ailleurs, il a annoncé une augmentation du budget consacré aux contrôles des aliments produits sur des terrains contaminés au chlordécone. Celui-ci sera porté à 3 millions d’euros d’ici à 2020, contre 2,1 millions d’euros actuellement.

En revanche, le locataire de l’Elysée a fermé la porte à l’hypothèse d’une indemnisation générale de la population antillaise, qui a été très largement exposée à la molécule. « Si je disais qu’on va indemniser tout le monde, c’est impossible même budgétairement et ce serait irresponsable », a-t-il déclaré. De la même façon, il s’est refusé à reconnaître le lien de cause à effet entre l’exposition au chlordécone et l’explosion du nombre de cancers de la prostate en Guadeloupe et en Martinique. « Il n’y a pas aujourd’hui de preuve scientifique établie », a-t-il dit, tout en ajoutant dans un « en même temps » acrobatique : « Ce qui est établi, c’est que ce n’est pas bon. »



31 Août, 2018

Développement durable : Partagez vos solutions avec l’aide des médias

#media #planète #tousensembles #climat

J’invite tous les médias – qui servent de grands témoins – à rendre compte chaque semaine, dans leur pages, des initiatives prises par les entreprises en faveur du changement climatique et du développement durable. Grâce à eux nous pourrons aller plus vite face à cette urgence. Allez #Lemonde, #Libération, #NorkYorkTimes, #larepublica #lesechos #Times etc…..Je suis à votre disposition pour vous aider dans ce projet.

Ce projet commence à prendre forme avec le journal Le monde qui a invité les entreprises au moment de la canicule a partager leur solutions. N’en restons pas là.