6 Août, 2018

More people sickened in outbreak linked to salads (cyclospora dans la salade)

Du Cyclospora dans les salades : The number of people sickened in an outbreak linked to salads sold at McDonald’s restaurants continues to climb. The CDC says 395 people in 15 states have fallen ill with cyclosporiasis, an intestinal illness caused by contaminated food. There have been 16 hospitalizations and no reported deaths. McDonald’s says it has replaced its salad supplier in the affected states. The FDA analyzed an unopened package of Fresh Express salad mix with romaine and carrots — the type distributed at McDonald’s — and confirmed it contained Cyclospora. Now, the agency is looking into the distribution and supplier information to try to pinpoint the source. The FDA says there’s no evidence so far that the outbreak is linked to another Cyclospora outbreak tied to Del Monte vegetable trays. ( Source Stat’s )

27 Jan, 2018

Episode 10, Lactalis: derniers rebondissements d’un cas d’école

Dans le dernier épisode, et après une crise sanitaire qui n’aurait duré qu’une semaine (selon La tribune ) le PDG,  du groupe français numéro un mondial du lait, s’exprimait dans les médias justifiant son silence (de plus d’un mois et demi, il fallait rectifier) par la nécessité de se consacrer à la résolution de la crise mais inquiet pour les victimes. Dans le même temps, une tribune (parue cette fois dans le Point ) comparait les morts sur la route et les enfants victimes de la salmonellose de Lactalis, nous mettant dans l’idée qu’il y avait des situations à prioriser.  Oubliant par la même de préciser au lecteur que la salmonellose peut être extrêmement grave surtout pour des bébés.
Toujours est-il que cela n’a pas dû plaire à quelques spécialistes de la cyberattaque qui ont très récemment souhaité s’intéresser au problème. C’est ainsi que le  site internet du groupe Lactalis a fait l’objet de pas moins de douze cyberattaques, l’obligeant à ôter la liste des lots contaminés pendant deux jours de son site (on peut les trouver sur le site du ministère de la Santé) alors que la société Ferrero – après avoir « subi » l’épisode de violences chez Intermarché dans le dossier « pour 3 pots » – est devenue une victime collatérale du dossier Lactalis avec une fakenews lancée sur secretnews d’une possible contamination du Nutella au Lactalis, vérifiée par Le monde  « vérification fakenews »
La suite idéale sera-t-elle une annonce des grands industriels et de ceux de la distribution qui garantirait un nouveau modèle de sécurité sanitaire alimentaire?
La transformation digitale viendra-t-elle au secours des produits à retirer ?
Le consommateur acceptera-t-il que sa carte de fidélité devienne un moyen de sécurité? en même temps qu’une bonne façon de connaître les habitudes de consommation? 
En termes de gestion du risque, le retour d’expérience est une étape essentielle. Affaire à suivre…
11 Jan, 2018

Episode 9: Après Leclerc mardi, les groupes Auchan, Carrefour et Système U ont reconnu, avoir commercialisé des produits Lactalis

Le Monde – Pourtant retirés de la vente en raison d’une contamination aux salmonelles, depuis le rappel, le 21 décembre, par le géant de l’agroalimentaire, de 720 lots de lait infantile. Au début de décembre, l’industriel laitier avait déjà procédé au retrait de 625 produits. Ces annonces en cascade sont faites vingt-quatre heures après les révélations sur la vente, par l’enseigne Leclerc, de 984 produits Lactalis incriminés. Michel-Edouard Leclerc, le patron du distributeur, avait immédiatement présenté ses excuses. « Je ne peux que constater et confirmer l’existence de défaillances dans les opérations de retrait effectuées par certains magasins de notre enseigne », avait ainsi écrit sur son blog mardi soir Michel-Edouard Leclerc, reconnaissant un « bug inadmissible ». De son côté, la Répression des fraudes a fait savoir qu’elle était en train de procéder à des contrôles partout en France pour vérifier que les produits avaient bien été retirés des rayons et des stocks dans toute la chaîne de la distribution, des magasins aux hôpitaux en passant par les pharmacies.

  • Auchan se dit « consterné » par la vente de 52 lots interdits dans ses magasins Auchan a annoncé mercredi avoir vendu 52 boîtes de lait infantile Lactalis qui auraient dû être retirées de ses rayons. « Malgré le retrait effectif de 36 000 produits, 52 produits supplémentaires – des boîtes de lait infantile – ont échappé à la vigilance de nos équipes et ont été vendus après la date du rappel sur 28 magasins (hypermarchés et supermarchés) », écrit dans un communiqué Auchan, qui se dit « consterné et présente ses excuses pour ces erreurs subies par ses clients ». Le 2 janvier, explique le groupe de distribution, « un magasin a reçu une livraison comprenant des références concernées par le rappel du 21 décembre. Suite à cette anomalie, Auchan Retail France a lancé un audit approfondi de la situation dans chacun de ses magasins afin de vérifier la parfaite application de la procédure de rappel ».

« Des clients ont d’ores et déjà été informés, permettant le rappel des produits incriminés, les derniers clients sont en train d’être identifiés et contactés. »

Auchan précise qu’un numéro (03.5930.5930) est « à la disposition des consommateurs qui auraient des questions »

  • Système U : « 384 boîtes de lait ont échappé à la procédure de rappel » Le groupe de distribution Système U a, de son côté, déclaré avoir vendu 384 boîtes de lait infantile Lactalis incriminées. « Il s’avère que 384 boîtes de lait ont échappé à cette procédure de rappel mise en œuvre dès le 21 décembre, et ont été vendues dans les jours qui ont suivi », a annoncé dans un communiqué le groupe, qui a « instantanément procédé à l’appel des clients identifiés ». « Désormais, plus aucun de ces produits n’est présent dans les Magasins U », a assuré l’enseigne.

« Les Magasins U expriment leurs regrets pour ce dysfonctionnement et continuent à tout mettre œuvre pour assurer la sécurité de ses clients. »

Système U a mis en place un numéro d’appel à disposition des consommateurs : 09 69 36 69 36.

  • Intermarché stoppe la vente des laits Lactalis de la marque Milumel Accusé par une cliente, Intermarché a affirmé mercredi qu’il vérifiait qu’« aucun produit [interdit] n’a[vait] été vendu après la date de demande de rappel par Lactalis » dans ses magasins. En attendant, le groupe a d’ores et déjà décidé arrêter « définitivement » de commercialiser des laits infantiles Lactalis de la marque Milumel, a annoncé, mercredi, Thierry Cotillard, le président du groupe de distribution, dénonçant notamment une « gestion chaotique de sa crise » par l’industriel laitier. « A ce stade, nous avons deux produits qui nous ont été remontés par deux consommatrices », a ajouté M. Cotillard, qui a assuré que la direction refaisait « un point avec l’ensemble de nos points de vente » pour établir un bilan précis des produits concernés par les procédures de rappel qui auraient éventuellement été vendus aux clients d’Intermarché. Le groupe a également annoncé que « tout produit qui fera l’objet d’un retrait/rappel pourra faire désormais l’objet d’un blocage en caisse sur la totalité de nos points de vente ». Le groupe Intermarché compte 1 800 points de vente un peu partout en France.
  • Carrefour : 434 produits ont été vendus après le rappel Le groupe de distribution Carrefour a annoncé mercredi soir avoir vendu des produits infantiles Lactalis qui auraient dû être retirés de ses rayons en raison d’une contamination aux salmonelles. « Un plan de contrôle a été mis en place dans l’ensemble des magasins pour s’assurer du retrait et de la destruction des produits concernés. Néanmoins, et malgré ces mesures de vigilance, 434 produits ont été vendus après le rappel », a indiqué le groupe de distribution dans un communiqué. Carrefour ajoute avoir retiré 94 959 produits et précisé avoir ensuite élargi son rappel « à tous les produits infantiles fabriqués par l’usine de Craon en Mayenne ». Carrefour tient à disposition son service consommateurs (0 805 900 022) pour répondre à leurs questions.
  • Monoprix a mis en place un blocage des codes-barres Pour sa part, Monoprix a annoncé la mise en œuvre d’un système de blocage des codes-barres : « S’il en reste [des produits Lactalis interdits à la vente], ce qu’on ne pense pas, ils ne peuvent pas être encaissés », a indiqué une porte-parole du groupe. Geoffroy Didier, secrétaire général délégué des Républicains (LR), a demandé jeudi la création d’une commission d’enquête parlementaire.

Lire aussi :   Lactalis : quels sont les lots de laits infantiles concernés par le rappel et par quoi les remplacer ?

 

9 Jan, 2018

Episode 8, Lactalis et sa salmonelle : Désormais Foodwatch, l’Institut pasteur questionnent…

Pour Foodwatch – Cette affaire est gérée dans la plus grande opacité. Forces courrier sont partis vers le ministère, de la DGAL vers Lactalis concernant la transparence des autocontôles. Qui, des autorités ou de Lactalis savait et n’a pas pris les mesures à la hauteur du risque lié à la salmonelle ? Les nouvelles révélations du Canard enchaîné viennent renforcer les doutes exprimés par foodwatch depuis le début de cette affaire. Une inspection vétérinaire réalisée en septembre n’a rien vu, « alors qu’on sait que l’usine était infectée depuis février au moins », rapporte le Canard. Pour foodwatch, il faut d’urgence mettre fin à un système qui semble faire une confiance aveugle aux autocontrôles opaques. A ce sujet, la Cour des comptes dénonçait déjà des anomalies graves en 2013.  On dénombre au moins 35 nourrissons touchés par la salmonellose et désormais 65 pays concernés. Pourtant, l’inspection vétérinaire (Ministère de l’Agriculture) réalisée en septembre dernier au sein de l’usine Lactalis à Craon n’a « rien vu », révéle Le Canard enchaîné. Comment est-ce possible ? L’usine, concernée par la bactérie depuis 2005, aurait dû être particulièrement surveillée. D’ailleurs, des prélèvements réalisés par Lactalis sur la chaîne de production s’étaient révélés positifs en août et novembre derniers. Lorsque le groupe d’enquête nationale des Fraudes (Ministère de l’Economie) contrôle l’usine le 2 décembre, elle est « plombée par les salmonelles », écrit le journal.

Pour l’institut pasteur: La salmonelle, qui a contaminé le lait infantile de Lactalis, pourrait être de la même famille que celle qui avait causé des problèmes dans l’usine Celia en 2005, selon l’institut Pasteur. Un nouvel élément a surgi dans l’enquête sur l’origine de la contamination du lait infantile produit dans l’usine de Lactalis à Craon (Mayenne) . Il relance un certain nombre de questions. En savoir plus sur

De nombreuses questions sont soulevées et notamment celle de l’autocontrôle et de sa transparence.

9 Jan, 2018

Episode 7, Lactalis: les règles de rappel ont été contournés par Leclerc

France Info – Le premier groupe français de grande distribution, E.Leclerc, a reconnu mardi 9 janvier avoir vendu des reliquats de produits Lactalis concernés par le rappel du 21 décembre dans certains de ses magasins. Malgré l’application de cette mesure de rappel consécutive à la découverte d’une contamination aux salmonelles, « il apparaît que 984 produits ont malgré tout été vendus après le rappel dans plusieurs magasins », indique le distributeur dans un communiqué, sans localiser les points de vente concernés.

E.Leclerc explique avoir constaté le problème après avoir procédé à « un audit interne de vérification de la bonne application des mesures de retrait des produits de l’entreprise Lactalis » à la suite d’un problème identifié dans le magasin E.Leclerc de Seclin (Nord). Les centres E.Leclerc procèdent à « un audit des procédures afin d’identifier précisément les raisons de ce dysfonctionnement et de mettre en place les mesures correctives nécessaires », ajoute le groupe qui dit avoir informé « l’administration compétente ».

Le distributeur affirme avoir identifié les consommateurs ayant acheté les produits et « les directions des magasins les contactent actuellement individuellement ». Un numéro vert 01.71.53.51.20 a été ouvert.

Trois vagues de retraits en décembre

Le 21 décembre, Lactalis a procédé au rappel de l’ensemble de ses laits et autres produits infantiles produits dans son usine de Craon (Mayenne) depuis février 2017 après la découverte d’une contamination aux salmonelles.

Un premier rappel de certains lots de laits infantiles avait été décrété le 2 décembre puis le gouvernement avait annoncé un retrait massif de produits issus de l’usine de Craon le 10 décembre.

La bactérie à l’origine de la contamination à la salmonelle de cette usine est probablement la même que celle qui a frappé le site en 2005, a indiqué ce 8 janvier l’Institut Pasteur.

Au 20 décembre, Santé publique France avait recensé 35 nourrissons atteints de salmonellose en France depuis mi-août, dont 31 ayant consommé un lait infantile de l’usine de Craon. « Le nombre est assez faible » et « je ne pense pas qu’il devrait beaucoup évoluer », a estimé le 8 janvier Simon Le Hello, codirecteur du Centre national de référence salmonelle de l’Institut Pasteur, qui enquête sur cette bactérie.

4 Jan, 2018

Lactalis, épisode 6: pointé du doigt, le gouvernement se défend

Que savaient les services du ministère de l’Agriculture? Aucune anomalie n’avait été décelée en septembre dans l’usine Lactalis de Craon lors d’un contrôle sanitaire partiel qui portait sur un seul atelier de l’usine, affirmait mercredi une responsable du service Alimentation au ministère de l’Agriculture.

« L’inspection, comme l’ensemble des activités d’inspection de ce type, portait sur un seul domaine d’activité de l’usine: en l’occurrence, un nouvel atelier de mélange à sec de céréales » a affirmé la responsable, à la suite d’un article du Canard Enchaîné mettant en cause la qualité des contrôles sanitaires menés dans cette usine, où des salmonelles ont été découvertes. Le contrôle a donné lieu à un rapport d’inspection adressé à la direction de Lactalis, « qui n’a relevé aucune non conformité » dans l’atelier en question, a indiqué la même source.

L’inspection a été menée sous l’autorité du Préfet par les services de la Direction départementale en charge de la cohésion sociale et de la protection des populations (DDCSPP), qui réfèrent à plusieurs tutelles: le ministère de l’Agriculture lorsqu’il s’agit de produits d’origine animale (lait) et le ministère de l’Economie lorsqu’il s’agit de produits infantiles, a précisé la même source.

Des « auto-contrôles »

« Comment les contrôleurs s’y sont-ils pris pour ne détecter en septembre aucune salmonelle, alors que l’on sait aujourd’hui, après enquête, que l’usine était infectée depuis février au moins? » s’interrogeait un expert en sécurité sanitaire des aliments, cité de façon anonyme dans le Canard Enchaîné mercredi.

La responsable du ministère de l’Agriculture a par ailleurs noté que d’autres contrôles, ayant repéré des salmonelles sur du matériel de nettoyage et sur les carrelages mais pas sur l’appareil de production et qui dataient du mois d’aout et de novembre, « relevaient vraisemblablement d’auto-contrôles menés par l’entreprise elle-même ».

Le ministère de l’Agriculture « n’a pas eu connaissance » de ces résultats, a ajouté la responsable. « Dans ce cas, il y a une obligation de notification de résultat aux autorités de l’Etat dès lors qu’une non-conformité a été décelée sur un produit mis sur le marché », a précisé la responsable. Lactalis avait évoqué ces deux contrôles le 10 décembre dernier.

La question qui reste en suspens désormais est donc de savoir si les services de la DDCSPP de la Mayenne avaient été informés des résultats des auto-contrôles. « Je n’ai pas cette information (…) C’est l’enquête judiciaire qui le déterminera », a dit la responsable du ministère. « Ce qui nous préoccupe, c’est qu’il n’y ait pas de mise sur le marché de produits dangereux », a-t-elle ajouté. « S’il y a eu dissimulation, fraude ou tromperie, la justice le déterminera, et là ce serait inacceptable et condamnable, mais à ce stade, on ne peut rien dire » a-t-elle ajouté.

3 Jan, 2018

Lactalis, épisode 5 : Le fond de l’affaire bientôt …

 

… Selon Le Canard enchaîné, Lactalis aurait identifié en août et en novembre la présence de salmonelles « sur du matériel de nettoyage et sur les carrelages » sur son site de Craon (Mayenne). « Rien de nouveau » dans ces informations, selon la direction de Lactalis.

Dans son édition du 3 janvier, Le Canard enchaîné affirme que des salmonelles avaient été découvertes lors de contrôles menés en août sur le site de Craon de l’entreprise Lactalis – d’où provenaient les lots de laits infantiles retirés sur le marché fin 2017 pour cause de contamination aux salmonelles. Les bactéries avaient été découvertes « sur du matériel de nettoyage et sur les carrelages ».

Les contrôles avaient été menés en interne par Lactalis Nutrition Santé. Ne pas communiquer sur ces résultats n’a « rien d’illégal », précise toutefois l’hebdomadaire. Il s’étonne en revanche qu’une inspection sanitaire de routine menée en septembre par une délégation du ministère de l’Agriculture ne semble pas avoir identifié ce problème – ainsi qu’en témoigne un compte-rendu rédigé par la DDCSPP (direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations).

Seul un atelier de mélange de céréales a été inspecté en septembre

« Comment les contrôleurs s’y sont-ils pris pour ne détecter en septembre aucune salmonelle alors que l’on sait aujourd’hui, après enquête, que l’usine était infectée depuis février, au moins ? » s’interroge un expert en sécurité sanitaire, interrogé par le Canard enchaîné.

Dans l’après-midi du 3 janvier, une responsable du service Alimentation au ministère de l’Agriculture a précisé à l’Agence France Presse que le contrôle sanitaire partiel portait sur un seul atelier de l’usine. « L’inspection, comme l’ensemble des activités d’inspection de ce type, portait sur un seul domaine d’activité de l’usine: en l’occurrence, un nouvel atelier de mélange à sec de céréales ».

Le ministère souligne qu’une obligation de notification n’existe que lorsque une non-conformité a été décelée sur un produit mis sur le marché. Lactalis, de son côté, rétorque que « les autorités ont à disposition les résultats des audits en permanence ».

« Rien de nouveau », selon Lactalis

Interrogé par Allodocteurs.fr dans la matinée du 3 janvier, la direction de la communication de Lactalis précise que l’article du Canard enchaîné « ne contient rien de nouveau qui n’ait déjà été évoqué auprès des médias ou des autorités ».  « Les autorités ont été informées de cela. On est dans des activités très contrôlées, et en relation de transparence totale ». « En septembre, lors du contrôle mené [par les autorités sanitaires], rien n’était positif ». Début décembre 2017, Lactalis avait déclaré « [savoir] désormais qu’une contamination dispersée s’est installée [à Craon] suite à des travaux réalisés durant le premier semestre 2017 ».

Lactalis précise que « les lots de produits mis en cause [dans les cas de contamination de nourrissons] ont été fabriqués en début d’année, antérieurement à la période » évoquée par le Canard enchaîné.

La responsable du ministère de l’Agriculture interrogée par l’AFP précise que le ministère de l’Agriculture « n’a pas eu connaissance » des résultats d’auto-contrôles évoqués par le Canard Enchaîné. « Dans ce cas, il y a une obligation de notification de résultat aux autorités de l’Etat dès lors qu’une non-conformité a été décelée sur un produit mis sur le marché », a précisé la responsable. Lactalis avait évoqué ces deux contrôles le 10 décembre dernier lors d’un entretien avec l’AFP. la suite 

La suite au prochaine épisode…